1. patinage

nom masculin Pratique du patin à glace ou à roulettes.
Fait de patiner, en parlant d'une roue, d'un embrayage, etc.

SPORTSIntroductionComme le ski, le patinage fut une activité utilitaire avant de devenir un sport de compétition ou une activité de loisir. Les deux disciplines qu'il comprend, le patinage artistique et le patinage de vitesse, sont d'un haut niveau technique et physique. Si la première met en valeur l'aspect esthétique et chorégraphique de cette activité, la seconde exprime la puissance et le dynamisme des athlètes.HistoriqueOriginesLes premiers patins à glace étaient constitués d'os de renne ou de cheval amincis et polis puis fixés à des chaussures en peau de bête. L'homme s'en servait déjà pour se déplacer il y a plus de 2 000 ans, plus particulièrement dans les pays de l'hémisphère Nord, de la Scandinavie à l'Amérique du Nord, qui furent aussi soumis beaucoup plus récemment aux rudes conditions hivernales du petit âge glaciaire (de 1550 à 1850). Les Indiens Iroquois, par exemple, attachaient des os à leurs mocassins pour chasser sur les lacs et les cours d'eau gelés ; en Europe, des peintres de l'école flamande, comme Pieter Bruegel, représentent l'évolution de patineurs sur les canaux gelés (Chasseurs dans la neige, paysages d'hiver avec patineurs et trappes d'oiseaux). Aux Pays-Bas, au XIVe s., les patins ont reçu des semelles de bois munies d'une lame en fer. Le patinage sur les canaux durant l'hiver y devint peu à peu un sport national. Au début du XVIIIe s., on y organise des courses de vitesse. En 1742, le premier club de patinage apparaît en Écosse, l'Edinburgh Skating Club. L'Angleterre organise sa première compétition dans la région marécageuse des Fens en février 1763. Le patinage de vitesse gagne toute l'Europe du Nord, où on le pratique, en particulier, dans les milieux populaires. L'Amérique, à son tour, est gagnée par la passion de la vitesse sur glace. Le premier club de patinage de vitesse est créé en 1849 à Philadelphie : en glissant sur la rivière Schuylkill, les patineurs inaugurent les premiers patins métalliques, sans bois ni lanières, mis au point par E. E. Bushnell. En 1876, Londres inaugure la première patinoire artificielle, le Glacarium dans le quartier de Chelsea.En France, le patinage est adopté comme une mode par l'élite, comme avant 1789 par la reine Marie-Antoinette, qui glissait sur le lac gelé du château de Versailles, et, plus d'un demi-siècle plus tard, par Napoléon III et l'impératrice Eugénie. Mais, plutôt que patiner vite, on préfère patiner en effectuant des évolutions proches de la danse, telles que l'enseigne l'Américain Jackson Haynes, un maître de ballet dont les exhibitions sur glace enthousiasment le public européen. C'est ainsi que Paris se dote d'un Palais des glaces en 1889.Les organisationsEn 1889, le premier Championnat d'Europe de vitesse a lieu aux Pays-Bas. Dès l'origine sont instaurés deux principes : celui de la piste à deux couloirs mettant aux prises deux patineurs ainsi qu'une gamme d'épreuves sur des distances différentes. Deux ans plus tard, en 1891, le premier Championnat d'Europe de patinage artistique hommes est organisé conjointement par l'Allemagne et l'Autriche (les femmes seront admises en 1930) et, en 1896, le premier Championnat du monde hommes se déroule à Saint-Pétersbourg (les femmes y participent dix ans plus tard, les couples en 1908 et les danseurs en 1952). La Fédération internationale (ISU, ou International Skating Union), elle, est fondée en 1892 : elle régit à la fois le patinage artistique et le patinage de vitesse. En 1908, le patinage artistique est inclus dans le programme des jeux Olympiques d'été : après une interruption, il redevient un sport olympique aux Jeux d'hiver de 1920. Quant au patinage de vitesse, il est admis en 1924 pour les épreuves sur piste longue et en 1992 pour les épreuves sur piste courte (« short track »).La Fédération française des sports de glace, créée en 1942, compte actuellement 25 000 licenciés (dont 25 % de femmes) répartis dans plus de 750 clubs.Le patinage artistiqueDiscipline et programmesIntroductionLe patinage artistique se pratique seul ou en couple – c'est l'un des rares sports de compétition où hommes et femmes font équipe. Les concurrents évoluent sur une piste de glace en réalisant des figures (cercles, pirouettes, sauts, enchaînements…) avec un accompagnement musical choisi par les patineurs. La tenue est laissée au libre choix des concurrents.Le patinage artistique comprend quatre disciplines : individuel hommes et femmes, couple et danse.Les disciplines individuellesLes disciplines individuelles donnent lieu à deux épreuves : un programme technique court, d'une durée maximale de 2 min 40 s et qui compte pour le tiers de la note finale, puis un programme de figures libres, d'une durée de 4 min (femmes) à 4 min 30 s (hommes) et qui compte pour les deux tiers de la note finale.Le programme court impose aux concurrents huit passages obligés : chez les hommes, deux séries de pas (en diagonale, en cercle ou en serpentines), trois pirouettes dans deux positions différentes (changée, sautée, combinée), un double axel, un triple saut précédé de pas et une combinaison avec triple saut plus double ou triple axel ; chez les femmes, une série de pas au choix, trois pirouettes, une séquence en arabesque, un double axel, un double saut (ou un triple) précédé de petits pas et une combinaison de sauts (double double, triple double ou double triple).Le patinage par coupleLe patinage par couple comprend également un programme court avec des mouvements imposés et un programme de patinage libre.Les deux partenaires, un homme et une femme, ne sont pas obligés d'effectuer toujours les mêmes mouvements, ils peuvent se séparer de temps à autre, mais ils doivent donner une unité d'harmonie dans la composition du programme et l'exécution du patinage telle qu'ils donnent l'impression d'un véritable patinage en couple, à l'opposé de deux patinages individuels séparés.Un bon programme doit comprendre des mouvements de patinage libre individuel exécutés symétriquement (position de miroir) ou parallèlement (position de shadow), ainsi que des mouvements de patinage en couple tels que pirouettes en couple, spirales, sauts portés ou lancés, etc. Tous ces mouvements doivent être reliés entre eux harmonieusement par des pas. Les mouvements dans lesquels un partenaire soulevé par l'autre quitte la surface de la glace pendant une période supérieure à celle nécessaire à l'accomplissement d'une combinaison continue de mouvements de patinage constituent une faute. Si un partenaire est aidé dans un saut par l'autre (saut porté), le saut dans son ensemble doit être exécuté avec un mouvement continu et rotatif, ascendant et descendant. Il est interdit, notamment, à un partenaire de porter l'autre dans une position statique ou de transporter la partenaire à bras tendus, de la faire tourner en l'air en la tenant par les mains ou les pieds, d'exécuter des rotations en position horizontale ou de sauter l'un vers l'autre.La danse sur glaceLa danse sur glace en couple, elle, octroie une place plus importante à la chorégraphie. Les danseurs ne doivent pas donner l'impression de patiner individuellement : ils doivent montrer unisson d'exécution, synchronisme des gestes et parallélisme des corps.Le jugement des figuresChaque figure imposée est notée sur 6. Pour évaluer cette note, le juge doit d'abord, pendant que le patineur exécute sa figure, tenir compte de la correction du départ, du style, du mouvement, du maintien d'une vitesse raisonnable durant toute l'exécution de la figure. Il doit ensuite, après l'exécution de la figure, en examinant les traces, tenir compte de la forme et de la symétrie de la figure. Il doit veiller à ce que soient respectées pendant toute la figure la continuité de l'évolution, la facilité du mouvement et la qualité des positions.Pour le patinage libre individuel et pour le patinage par couple, il est donné deux notes : l'une pour la valeur technique ; l'autre pour l'impression artistique.En évaluant la note de valeur technique, les juges doivent considérer la difficulté du programme réalisé (les parties ratées ne comptent pas), la variété, la netteté et la sûreté de l'exécution.En évaluant la note pour l'impression artistique, les juges doivent considérer la composition harmonieuse du programme dans son ensemble et son accord avec la musique choisie, l'utilisation de toute la surface de la piste, la facilité et la sûreté des mouvements en mesure avec la musique, le style et l'originalité du concurrent et l'expression du caractère de la musique.Les figuresLe dehors avantLe patineur avance en tournant vers la droite.Le dehors arrièreLe patineur recule vers la droite.Le dedans avantLe patineur avance vers la gauche.Le dedans arrièreLe patineur recule en tournant vers la gauche.L'axel (créé par Axel Paulsen en 1882)Le patineur part d'un dehors avant gauche avec une réception en arrière après un tour et demi sur le dehors droit. C'est également le seul saut dont l'appel se fait en avant sur un pied en carre extérieure. C'est un saut difficile où le patineur s'élance vers l'avant et retombe vers l'arrière. Le triple axel date de 1978 et fut créé par Vern Taylor.Le salchow (créé par Ulrich Salchow en 1909)Le patineur part d'un dedans arrière et se réceptionne en dehors arrière sur le pied contraire à celui du départ. L'appel se fait donc du pied gauche, en carre intérieure et en arrière. En 1928, le double salchow fut créé par Gillis Grafström et Montgomery Wilson.Le boucle (créé par Werner Rittberger en 1910)Ce saut est la base du patinage, le patineur part d'un dehors arrière et se réceptionne en dehors arrière sur un même pied. En 1925, Karl Schäfer inventa le double boucle.Le lutz (créé par Aloïs Lutz en 1913)Le patineur part d'un dehors arrière et pique de la pointe de son pied libre. Il se réceptionne en dehors arrière sur le pied qui a piqué. En 1944, Richard Button inventa le double lutz. En 1969, le Canadien Donald Jackson réalisa le premier le triple lutz aux Championnats du monde de Prague. Il remporta le concours en obtenant sept notes de 6.Le flipLe flip est un salchow piqué. Le patineur part d'un dedans arrière avec piqué du pied libre et se réceptionne en dehors arrière sur le pied qui a piqué (ce saut s'effectue plutôt sur une ligne droite).Le boucle piquéC'est un saut piqué (le patineur utilise un deuxième appui) réalisé avec un piqué. Le pied droit glisse en arrière en carre extérieure tandis que le pied gauche frappe la glace derrière le patineur.Les épreuves de patinage artistiqueLes jeux Olympiques– INTRODUCTIONIntroduit en 1908, le patinage est absent du programme olympique en 1912. Mais il est réintégré dès la reprise des jeux Olympiques en 1920. La spécialité de la danse n'est inscrite qu'en 1980 bien qu'elle ait été présente dans le programme des championnats du monde depuis 1952.Les Championnats du monde– INTRODUCTIONLes Championnats du monde n'ont pas été organisés pendant les deux conflits mondiaux ainsi qu'en 1961. Cette année-là, ils furent annulés à la suite d'une catastrophe aérienne qui décima l'équipe des États-Unis en route vers Prague, où devaient se disputer les compétitions.– PALMARÈS HOMMES – PALMARÈS FEMMES – PALMARÈS COUPLES – PALMARÈS DANSE Les grands patineurs et patineusesAnissina (Marina) [Russie puis France, née en 1975] et Peizerat (Gwendal) [France, né en 1972]Patineuse artistique.Le patinage de vitesseIntroductionLe patinage de vitesse consiste à parcourir, en un minimum de temps, une distance donnée sur une piste de glace, dénommée « anneau de vitesse ». Les athlètes utilisent des patins adaptés à la vitesse, très effilés et pourvus de lames longues (de 40 à 50 cm) et fixes. Pour améliorer leur aérodynamisme, ils portent une cagoule et sont vêtus d'une combinaison spéciale. Le mouvement du patineur de vitesse est caractéristique : il place l'un de ses bras derrière son dos, tandis que l'autre fait office de balancier. Le but de chaque course n'est pas seulement de devancer l'autre patineur, mais plutôt d'accomplir le meilleur temps possible. En effet, le classement final est fondé sur le temps, pas sur la place obtenue.Les disciplines de la vitesseLe patinage de vitesse compte deux types d'épreuves : les plus anciennes mais aussi les plus nombreuses se déroulent sur piste longue, les plus récentes, sur piste courte (« short track »).La piste longueLe patinage de vitesse sur piste longue se pratique sur des anneaux de glace de 400 m, avec deux virages de 180 ° chacun, construits le plus souvent, étant donné leur dimension, en plein air. La piste est séparée en deux couloirs de 4 à 5 m de large. Les courses sont courues dans le sens inverse de celui des aiguilles d'une montre, le côté intérieur de la piste étant du côté gauche du patineur. Toutes les courses internationales doivent être courues sur une double piste formée par paires. Deux athlètes patinent en même temps, chacun dans un couloir. Celui qui occupe le couloir extérieur parcourt (dans un virage) une distance plus grande que celui qui occupe le couloir intérieur. Pour rétablir l'égalité des distances, les couloirs se croisent donc et les patineurs doivent changer de couloir à chaque tour. Le patineur qui commence sur le couloir intérieur passera sur le couloir extérieur à chaque fois qu'il arrive à la ligne de croisement, à chaque tour, et vice versa pour celui qui commence sur la ligne extérieure.Les différentes épreuves se courent sur les distances de 500 m (1,25 tour), 1 000 m (2,5 tours), 1 500 m (3,75 tours), 3 000 m (7,5 tours), 5 000 m (12,5 tours) et 10 000 m (25 tours).Aux Championnats du monde et d'Europe, un titre combiné est décerné au vainqueur d'un programme comportant quatre distances : 500 m, 1 500 m, 5 000 m et 10 000 m pour les hommes et 500 m, 1 500 m, 3 000 m et 5 000 m pour les femmes. Aux Championnats du monde, un combiné dit court est réservé aux sprinters, hommes et femmes. Ceux-ci concourent deux jours de suite sur 500 et 1 000 m. Les athlètes qui concourent pour le combiné long (« all-round », en anglais) doivent patiner sur toutes les distances, le classement final tenant compte des temps sur chacune des distances. Ces temps sont ramenés à l'équivalent du 500 m pour toutes les distances, afin que chaque distance ait le même « poids » dans le résultat final. Par exemple, le temps du 500 m est laissé intact, alors que celui du 1 000 m est divisé par 2 (pour faire 500), celui du 1 500 m est divisé par 3, etc. Le vainqueur du combiné est le patineur qui a accompli le meilleur temps sur la moyenne des quatre distances.Aux jeux Olympiques, en revanche, seulement cinq titres sont décernés aux hommes : 500 m, 1 000 m, 1 500 m, 5 000 m et 10 000 m ; et cinq titres aux femmes : 500 m, 1 000 m, 1 500 m, 3 000 m et 5 000 m.La piste courteAdmis aux jeux Olympiques en 1992, le patinage de vitesse sur piste courte, ou short track, est dérivé du patinage de vitesse traditionnel. Il se dispute dans une patinoire fermée sur un anneau de vitesse mesurant 111,12 m de circonférence. Les lignes droites sont beaucoup plus courtes, les virages plus serrés. C'est pourquoi les patins pour la piste courte donnent un plus grand support à la cheville et sont plus hauts par rapport à la glace ; ils ont des lames que l'on peut facilement décentrer vers la gauche : ainsi, les bottines des patins ne touchent pas la glace lorsque les patineurs sont penchés dans les virages pour atteindre la vitesse maximale. Les courses sont spectaculaires : les concurrents, au nombre de quatre ou huit, disputent ensemble un sprint sur la glace, l'obligation de trouver la meilleure trajectoire pouvant entraîner bousculades et chutes.Les épreuves individuelles, pour les femmes et pour les hommes, se déroulent sur les distances de 500 m (4,5 tours), 1 000 m (9 tours), 1 500 m (13,5 tours) et 3 000 m (27 tours) – seules les deux premières sont actuellement incluses dans le programme des jeux Olympiques. En outre, les femmes disputent un relais sur la distance de 3 000 m (27 tours) et les hommes, sur celle de 5 000 m (45 tours), en équipes de 4 patineurs : les patineurs font entre un et deux tours à la fois, avant de donner le relais à un coéquipier en lui donnant une poussée pour lui transmettre le plus grand élan.Permanences et tendancesLe patinage de vitesse est une tradition de l'Europe du Nord (Pays-Bas, Allemagne) et des pays scandinaves (Norvège, Suède, Finlande), qui dominent les spécialités de la piste longue. Les États-Unis et la Russie sont toujours présents grâce à des individualités, tel l'Américain Eric Heiden, qui a gagné sur toutes les distances aux jeux Olympiques de 1980, ou la Soviétique Lydia Skoblikova dans les années 1960. Quant à la piste courte, c'est devenu une spécialité des patineurs asiatiques (des Japonais et en particulier des Coréens), qui trustent les titres olympiques et mondiaux en concurrence avec les Canadiens, les Néerlandais… et les Italiens.Les épreuves de patinage de vitesseLes Championnats du monde (combiné piste longue)– HOMMES – FEMMES Les Championnats d'Europe (combiné piste longue)– HOMMES – FEMMES Les Championnats du monde de short track (championnats créés en 1978)– HOMMES – FEMMES Les records du monde de vitesse et de short trackPiste longue– HOMMES – FEMMES Short track– HOMMES – FEMMES Les grands patineurs et patineuses de vitesseAndersen (Hjalmar) [Norvège, né en 1923]Patineur de vitesse.Triple champion olympique sur 1 500 m, 5 000 m et 10 000 m (1952), champion du monde du combiné (1950, 1951 et 1952).Ballangrud (Ivar) [Norvège, 1904-1969]Patineur de vitesse.Triple champion olympique des 1 500, 5 000 et 10 000 m (1936).Blair (Bonnie) [États-Unis, née en 1964]Patineuse de vitesse.Championne olympique sur 500 m (1988, 1992, 1994) et sur 1 000 m (1992, 1994), championne du monde du sprint (1989, 1994, 1995).Enke-Kania (Karin) [R.D.A., née en 1961]Patineuse de vitesse.Championne olympique sur 500 m (1980), 1 000 m et 1 500 m (1984), championne du monde du sprint (1980, 1981, 1983, 1984, 1986, 1987) et du combiné (1984, 1986, 1987, 1988).Gouliaev (Nikolaï) [U.R.S.S., né en 1966]Patineur de vitesse.Champion du monde du combiné (1987), quadruple champion olympique du 1 000 m (1988).Heiden (Eric) [États-Unis, né en 1958]Patineur de vitesse.Koss (Johan Olaf) [Norvège, né en 1969]Patineur de vitesse.Champion olympique du 1 500 m (1992, 1994), du 5 000 m et du 10 000 m (1994), champion du monde du combiné (1990, 1991, 1994).Niemann-Stirnemann ex Kleemann (Gunda) [Allemagne, née en 1970]Patineuse de vitesse.Championne du monde du combiné (1990, 1991, 1992, 1993, 1995, 1996, 1997, 1998, 1999), championne olympique du 3 000 m (1992, 1998) et du 5 000 m (1992).Schenk (Ard) [Pays-Bas, né en 1944]Patineur de vitesse.Champion du monde du combiné (1970, 1971, 1972), champion olympique du 1 500 m, 5 000 m et du 10 000 m (1972).Skoblikova (Lydia) [U.R.S.S., née en 1939]Patineuse de vitesse.Championne olympique du 1 500 m et du 3 000 m (1960, 1964) et du 500 m et du 1 000 m (1964). Première sportive à gagner quatre titres olympiques durant les mêmes jeux Olympiques, en 1964.Young (Sheila) [États-Unis, née en 1950]Patineuse de vitesse.Championne olympique sur 500 m (1976), championne du monde du sprint (1975, 1976).
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